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 Andrea s. Tachenberg

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Andrea S. Tachenberg

Andrea S. Tachenberg


Capricorne Singe
Messages : 114
Date de naissance : 08/01/1993
Date d'inscription : 11/02/2010
Age : 31
Pseudonyme : Gossip Anonyme

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Patronus: Un corbeau.
Relations:
Année ou profession: Professeur de Runes.

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MessageSujet: Andrea s. Tachenberg   Andrea s. Tachenberg EmptyJeu 11 Fév - 23:41

Andrea s. Tachenberg Andrea10
credit (c)
TACHENBERG, ANDREA silver.
26 ans - autre école - professeur d'étude des runes

« Mystèriuex - Etrange - Drôle - Intelligent - Lunatique
- Curieux - Solitaire - Genereux - Consiliant - Gourmand»

    ♦ PARTIE RP
    ___ Le Poudlard Express, le transport favoris des jeunes anglais d’entre onze et dix-sept ans… Et un cauchemar diurne pour les autres. A quoi avais-je pensé en prétendant préféré un trajet en train à l’utilisation exceptionnelle d’une cheminée dans l’enceinte de l’école ? Ah oui, en grande âme que je suis, je n’avais pas voulu qu’il se dérange juste pour moi et logeant sur le chemin de traverse depuis quelques temps, j’avais ajouté que de toute façon, la gare de King Cross n’était qu’à quelques rues de l’auberge du Chaudron Baveur. Je me plaqué contre la porte d’un compartiment en voulant éviter une bande de deuxième année qui courraient après un chat dans l’allée. Mon dieu, mais quelle idée avais-je eu là ? M’assurant que la voie était libre, je repris mon chemin, ma valise flottant tranquillement dans les airs, derrière moi, à la recherche d’un compartiment de libre. La plupart étaient déjà occupé et presque pleins, de même ne l’auraient-ils pas été que je ne me voyais pas allé m’installer entre deux filles de quatrième années parlant potions de beauté et vernis à oncle ou traumatiser des premières années qui m’auraient regardés comme si je venais de Mars. Pas que je n’ai pas l’habitude d’être regardé de travers, mais bon, au tant ne pas forcer la main non plus. Aussi fus-je soulagé lorsque je trouvais enfin ce que je recherchais : un compartiment vide. Soupirant de soulagement, j’ouvris la porte rapidement et fit monter mon bagage dans le filet prévu à cet effet avant de me laisser tombé mollement sur la banquette, éreinté par ma nuit blanche et le stress que m’affligeait mon nouveau poste.

    Après avoir pris quelques secondes pour souffler, je me tournais vers la fenêtre pour observer le quai de la gare, ou de nombreux parents faisaient leurs adieux temporaires à leurs progénitures à force de signes de mains, d’embrassades et de larmes. Je posais mon regard sur un jeune garçon brun dont la mère ne semblait pas décidé à le laisser partir, cette vision me rappela un très lointain souvenir :

    « On me plaça dans les bras de ma mère, je pleurais. Je me trouvais dans une chambre obscure, uniquement éclairé par quelques bougies, nous étions le vingt un décembre de l’année deux mille trente deux… »

    Wooh! Je suis remonté un peu trop loin là, beaucoup trop loin même! Non, tu croix Andrea ? Oui, je croix. C’est qu’il est malin ce garçon… Hum, que je fasse les présentations tout de même ; Je me nomme Andrea Silver Tachenberg, je suis le fils d’une italienne répondant au nom de Silvina Salvatore et d’un père anglais que je n’ai jamais connu et dont mon seul héritage sont mes yeux et mon nom de famille. Mais si il y a une chose que vous devez savoir à mon sujet, c’est que je suis un sorcier. Waouh! On aurais jamais deviné après t’avoir vu faire léviter une valise! - Et cette chose qui se permet des commentaires plus désagréables et sarcastiques les uns que les autres, c’est juste ma conscience. Tout le monde en a une et bien moi aussi, avec la particularité que je parle régulièrement avec elle comme si elle était une personne à part entière. Ah mais je vous vois venir, vous êtes entrain de vous dire : Au secours, ils ont embauchés un échappé de l’asile! Mais non, je suis parfaitement équilibré mentalement. Croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais en enfer! - Prévois tes lunettes de soleil alors! - Enfin bref, que disais-je déjà ? Ah oui, je me remémorais les moments les plus fabuleux de mon existence : bah, j’ai quelques heures à tuer, au tant commencer par le commencement, c’est-à-dire la première fois que j’ai fait de la magie…

    « Le quatre août mille neuf cent cinquante deux, je n’avais alors que quelques mois. Nous habitions, ma mère et moi, chez mon grand-père dans une belle petite villa toscane proche de Florence, en Italie. Pays ou j’avais passé mon enfance et ma scolarité première. Je me trouvais dans les bras de mon aïeul sur la véranda. Il faisait beau et la température n’était supportable qu’à l’ombre, une journée d’été typique en somme. Tout allait bien jusqu’à ce que mon grand-père s’assoupisse et que je ne me mette a avoir faim. Le biberon n’était pas loin, juste posé sur une table à côté de notre fauteuil à bascule. Je le fixais avec insistance, espérant peut-être ainsi lui faire comprendre que j’avais besoin de lui. Pourquoi n’ai-je tout simplement pas pleuré pour réclamer mon du ? Je n’en ai strictement aucune idée, mais d’après ma mère, lorsqu’elle est revenue du jardin : mon ancêtre dormait toujours et moi, je buvais tranquillement mon repas tandis que le biberon flottait dans les airs, simplement accroché à mes lèvres… »

    Bien sur, je ne tiens pas ce souvenir de ma propre personne, vous vous en doutez, mais apparemment, j’ai bien fait rire ma mère ce jour là et elle a même immortalisé l’instant en prenant une photo : ma première magie. Je fus un instant sortie de mes pensées lorsque le train s’ébranla et que nous quittâmes la gare. Au revoir Londres, au revoir vacances. Bonjour boulot, élèves fainéants et lieu totalement inconnu, enfin pas tout à fait, car je m’étais tout de même donné la peine de me plonger dans L’histoire de Poudlard, histoire de… m’instruire. L’un de mes souvenirs les plus forts, est certainement le jour ou j’ai reçu ma lettre d’inscription au Collège de Sorcellerie Italien : Magilegio, nom provenant d’un croissement entre magie et sortilège ( sortilegio en italien). Pas vraiment original et pas vraiment imprévu lorsque l’on est élevé par des sorciers…

    « Je me tenais bien encré dans la fauteuil voisin de celui de mon grand-père sur notre véranda, l’un de mes livres préférés à la main ; le chien des Baskerville. J’en été au moment ou le docteur Watson découvre son ami, Sherlock Holmes dans les ruines près de la lande, lorsqu’un bruit attira mon attention. Un hibou grand duc atterrit doucement sur le dossier de la chaise de mon aïeul endormi en hululant, provoquant un sursaut chez celui-ci qui se réveilla en additionnant divers invocations de dieux et autres noms d’oiseaux plus excentriques les uns que les autres. Le volatile tendit la patte et je me levais pour venir détacher l’enveloppe, je lu l’adresse qui y été noté : Mr Andrea Silver Tachenberg, sous la véranda, Villa Salvatore, Florence. Le courrier m’était donc adressé ? Étrange, je n’avais jusqu’ici jamais rien reçu. Retournant l’enveloppe, j’aperçu que celle-ci était scellé d’un cachet portant des armoiries : une couronne d’olivier et un loup. Deux des symboles de mon pays. Je compris alors d’où provenait la lettre. Ouvrant de grands yeux ahuris, je partis en courant jusqu’aux jardins ou se trouvait ma mère entrain de peindre un paysage toscan.
    Andrea : Maman! Maman!
    Silvina : Andrea ? Qu’y a-t-il mon chéri ?
    Andrea : J’ai reçu la lettre! J’ai reçu la lettre!
    Silvina : Montre moi ça ?
    Elle me prit la dite lettre des mains et après un bref coup d’œil à l’enveloppe, s’attarda à la lecture de celle-ci : contenant l’invitation effective à rejoindre le collège en septembre, une liste de fournitures à acheter, ainsi que d’autres indications comme le train à prendre à la gare de la Santa Maria Novella, le troisième jours de septembre, à Florence. Finalement, elle se tourna vers moi, son beau visage illuminait d’un sourire et me prit dans ses bras en me félicitant. Je ne l’avais jamais vu aussi heureuse. Nous dansâmes ensemble en riant entre les oliviers…
    »

    C’est ainsi que deux mois plus tard, j’avais - flanqué d’une valise plus grande que moi et d’une cage contenant mon nouveau hibou, un gros oiseau au plumage noir que j’avais baptisé Docteur Watson, plus couramment nommé Watson en hommage au narrateur du moldu, Sir Arthur Conan Doyle, dont j’étais complètement mordu depuis que j’avais découvert Sherlock Holmes - rejoins la gare de Florence et étais passé au travers de la fameuse vieille affiche pour du dentifrice qui servait de passage entre la partie moldu et la partie sorcière. Ma mère m’avait suivis jusque devant le train que j’avais d’ailleurs failli louper et pour cause, j’avais bien cru qu’elle ne me lâcherait jamais. Une fois installé dans un compartiment - oui, j’avais réussi à lui faire lâcher prise! - j’avais ressortis un livre pour combattre l’ennui du trajet avant que la porte ne s’ouvre d’un seul coup. C’était à ce moment là que j’avais rencontré mon meilleur ami ; Antonio Vivaldi et sa jumelle, Carolina. Ils se sont disputés un moment devant la porte avant de s’apercevoir de ma présence. Elle a fait les présentations et finalement, nous ne nous sommes plus quittés à dater de ce jour. De la première année, le premier jour de cours au bal de promo de notre septième année. Je me rappellerais toujours de mon premier cours…

    « Nous marchions, moi et les jumeaux, dans un des couloirs de Magilegio avec pour destination, notre premier cours de l’année : histoire de la magie. Lorsque nous trouvâmes enfin la salle, les autres étaient déjà entrain de s’installer et nous dûmes nous placer à l’avant, juste en face du bureau. Le professeur, un homme brun de petite taille portant une sorte de toge qui aurait été plus adéquate dans un tableau de la Renaissance que pour donner un cours aux XX ième siècle, se présenta rapidement et d’un geste théâtrale commença son cours sans se demander si nous arrivions à suivre le rythme. Attrapant rapidement un parchemin dans mon sac, je fis tomber ma plume. Me penchant pour la ramasser, j’eu du mal à mettre la main dessus et quand je relevais les yeux, je tombais nez à nez avec le dis professeur Milesi :
    Professeur : Que faites vous sous votre table Mr Tachenberg ?
    Andrea : Je cherche des trèfles à quatre feuilles monsieur ?
    Il me regarda comme si j’étais tombé sur la tête. D’accord, note pour plus tard : l’humour n’est pas de mise avec les professeurs. Ainsi celui-ci me fit comprendre par A + B que chercher des trèfles à quatre feuilles pendant son cours était totalement proscrit et me menaça d’une retenue si je recommençais…
    »

    J’eu un sourire en coin en repensant à une fois, alors que j’étais en sixième année et ou j’avais de nouveau fait tombé ma plume, le même enseignant m’avait donné une retenue pour avoir « recherché un végétale sous mon bureau durant son cours. » Le surveillant avait été ahuris en lisant le descriptif de ma punition sur le parchemin le soir même. C’était le bon vieux temps. La vie était tranquille à cette époque : ma première année avait été très sympathique, je m’étais fais pleins d’amis. La seconde fut de même. Arrivé à la troisième, je me passionné littéralement pour un de mes cours optionnels : étude des Runes. J’adorais les mystères étant parait-il moi-même assez mystérieux voir étrange. Alors déchiffrer le dialecte était pour moi, un véritable plaisir. J’avais toujours les meilleures notes. En quatrième année, on me proposa d’intégrer l’une des équipes de Quidditch, je tentais l’expérience. Nous gagnâmes notre match alors que je jouais au poste d’attaquant centrale, mais il y avait un revers à la médaille… aussi fus je dès le lendemain assaillis de l’être d’admiratrices en tout genre, les filles se mirent à me suivre en meute dans les couloirs, ce qui fit bien rire Antonio qui profitait de ma célébrité pour s’approcher des dites demoiselles, même Carolina se moquait ouvertement quand je vérifiais entre mes cours si la voix était libre avant de sortir d’une salle. La seule qui parvint à me coincer fut une amie de cette dernière, une jeune française qui avait rejoint Magilegio pour sa septième année, portant le nom de Marie Fleur Dupuis. Assiégeais par les demandes de celle-ci et celle de mon amie, je fini par me résoudre a accepter de sortir avec elle. Malheureusement, nous devîmes le couple fard : le capitaine de l’équipe de Quidditch et l’étrangère. Cependant, je fini par prendre plaisir à la présence de la jeune femme, aussi ne nous séparâmes qu’à la fin de nos études, après des adieux déchirants lors de la remise des diplômes et d’un bal de promo grandiose durant lesquels j’eu droit de faire un discours et d’être élu Roi de ma promotion. Ce qui ne m’intéressé absolument pas. Non, ce qui me plut réellement ce jour là, se furent mon diplôme et la lettre d’acceptation à l’AEFPM : Académie Européenne de Formation au Professorat Magique en Allemagne.

    J’entrais donc pour cinq ans de formation dans cette université ou je me spécialisais pour l’enseignement de ma matière préféré : les runes anciennes. Je cohabitais donc sur le campus avec Carolina, qui était elle aussi en formation là bas mais pour enseigner l’Arithmancie. Je n’eu pas beaucoup de temps libre, je du même renoncer au Quidditch, ce qui n’était pas un si gros sacrifice en soi. Mais je fus fier à la fin de ces années d’obtenir mon certificat avec mention. Ainsi, je n’avais plus qu’une année de stage a effectuer et je serais officiellement : professeur de Runes. J’avais donc vingt deux ans, lorsque je commençais mon stage au près de mon ancienne professeur à Magilegio. Il dura le temps d’une année scolaire et je fus persuadé d’avoir choisi la bonne voix. J’aimais enseigner, transmettre mon savoir, ma passion. Néanmoins, je me retrouvais sans emploie à la fin de cette même année : la demande de professeur en cette matière n’était pas grande et la plupart des écoles avaient déjà un enseignant compétant et valide. Aussi, après deux mois dans ma famille à Florence, décidais-je d’aller tenter ma chance en Amérique. Je voyageais beaucoup cette année là : parcourant le Mexique et les Etat-Unis en balai, découvrant des choses incroyables et magnifiques, participant à des fouilles dans le grand canyon ou dans un monument inca, je ne m’ennuyais guère. Cependant, un ami sur ma route me parla du collège de Magie Canadien, Montrard, citant qu’il manquerait à celui-ci un professeur de Runes pour l’année suivante, l’autre partant en retraite. Je m’y rendis donc avec l’espoir de décrocher mon premier poste… que j’obtins. Je débutais donc mon métier à la rentrée suivante : apprécié de mes collègues, de mes élèves… peut-être même trop de mes élèves. Ainsi, ma malédiction du collège m’avait suivis jusqu’ici et je du essuyer nombreuses tentatives de séduction de la part de mes élèves au féminin. Jusqu’à ce qu’une, plus orgueilleuse que les autres, ne décide de me faire payer mon refus, aussi me retrouvais-je accuser d’avoir tenté d’abuser de sa personne. L’histoire se répandit dans l’école avec la rapidité de tout ce qui est censé être secret. Le directeur proposa donc un test au veritaserum, qui fit pâlir mon accusatrice et révéla la vérité à tous. On me fit des excuses, me proposa de reprendre mon poste mais je refusais; ma fausse réputation était faite et j’entendais mainte rumeurs stupides : j’aurais ainsi envoûté mon jury ou déjouais le véritaserum ou plus excentriques encore…

    Je retournais donc en Europe et mis cape sur l’Angleterre, ayant pris la langue anglaise en affection. Je m’installais au Chaudron Baveur en attendant de trouver un appartement. La suite, vous la connaissez bien sur, car elle m’a conduit dans ce train. Un matin, on m’a aborder alors que je prenais mon petit déjeuner dans la salle de restauration : un homme d’environs vingt ans de plus que moi, à l’air sage, lunette en demi-lune sur un nez aquilin derrière lesquels brillaient deux yeux bleus perçant…

    « L’homme portait une grande robe de sorcier d’une couleur argenté et violette, plutôt coloré comparé aux tenues du reste de l’assemblée- principalement à la mienne, moi qui m‘habillait toujours en noir, s‘accordant avec la couleur ébène de mes cheveux et contrastant avec mes yeux bleu-vert. Il ne me fallut pas longtemps pour deviner à qui j’avais affaire. Il me tandis une main que je pris et dis simplement :
    Andrea : Enchanté, Professeur…
    L’homme en face de moi parut étonné un bref instant, puis un sourire apparut sur son visage et il demanda simplement, en m’observant avec curiosité :
    Higgins : Je serais curieux de savoir comment vous avez deviné…
    Andrea : Rien de plus simple. Vous avez l’apparence typique d’un sage, d’un professeur. Un peu de craie sur votre manche que vous avez frotté avant d’entrer ici… Et la manière dont vous ont respectueusement salué ces jeunes élèves de Poudlard près de l’escalier me dit que vous êtes donc professeur là bas. Vous ne sentez pas les ingrédients de potions et n’êtes pas couvert de plumes, par contre l’une de vos mèches de cheveux est encore rouge suite à une métamorphose, un changement de couleur, vous êtes donc professeur de métamorphose à Poudlard. Vous êtes donc le célèbre nouveau directeur de l’école, Higgins.
    Higgins : Impressionnant. Vous portez bien votre surnom, Professeur Tachenberg ou bien Sherlock.?Savez-vous pourquoi je suis ici ?
    Andrea : Je n’ose l’espérer…
    »

    Et finalement, il m’avait proposé un poste que j’avais eu tôt fait d’accepter. Voila comment j’avais atterris dans ce train. Je revins à moi lorsque j’entendis la vendeuse de bonbons passer dans le couloir : hum, voila qui était intéressant. J’étais plutôt gourmand dans mon genre. Me levant, je sortis dans le couloir… grossière erreur! Une horde de gamins en fit de même et je me retrouvais coincé entre eux la porte d’un compartiment, écrasé comme une crêpe : quel idée d’être prof ? Je hais les gosses. Bon sang, mais qu’est-ce qu’y m’est passé par la tête non d’un hippogriffe ?


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MessageSujet: Re: Andrea s. Tachenberg   Andrea s. Tachenberg EmptyVen 12 Fév - 2:51

Bienvenue! ^^

Voilà une fiche tintée d'humour, légère, avec un personnage sympathique... mais malheureusement, tachée de pas mal de fautes d'orthographe et de grammaire! =S

Alors voilà ce que je te propose : Je te valide mais relis-toi plus attentivement avant de poster, d'accord? ^^
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MessageSujet: Re: Andrea s. Tachenberg   Andrea s. Tachenberg EmptyVen 12 Fév - 10:30

    D'accord ! Smile Je suis désolé, j'ai du terminé très vite alors je n'ai pas pu me relire vraiment...
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MessageSujet: Re: Andrea s. Tachenberg   Andrea s. Tachenberg EmptyVen 12 Fév - 18:50

Et bien dans ce cas, je t'ajoute dans le groupe des professeurs! Wink

Bon jeu!!
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